

Author: ter Hofstede Hannah M Fenton M B. Whitaker Jr. John O
Publisher: NRC Research Press
ISSN: 1480-3283
Source: Canadian Journal of Zoology, Vol.82, Iss.4, 2004-04, pp. : 616-626
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Abstract
Ectoparasite host specificity can be influenced by factors such as the degree of host isolation and ectoparasite mobility. Host-site specificity can result from factors such as proximity to mates, competition, and host grooming behaviour. Ectoparasitic bat flies on bats from the Lamanai area of Belize were collected from hosts captured in mist nets to determine host specificity and host-site specificity. Bat grooming behaviour was also recorded and quantified. From 455 bats (25 species in five families), 773 bat flies (32 species in two families) were collected. Of 32 bat fly species, 25 were only found on 1 bat species, 6 were found on 2 species of the same genus, and 1 was found on 2 species of different genera (the latter appearing to be an accidental association). Specificity of the bat flies tended to follow the taxonomy of the bat hosts, not the ecological isolation of the host species, since bat species that often roost in polyspecific groups did not share bat fly species. Mobility of the bat flies was not related to host specificity. Host-site specificity of bat flies occurred for either fur or membrane on the host, and long hind legs and ctenidia appear to be morphological adaptations for living in fur. Bat grooming behaviour was consistent with the assumptions of a simulation model, which suggested that host grooming could be responsible for host-site segregation of bat flies.Des facteurs, tels que le degré d'isolement de l'hôte et la mobilité de l'ectoparasite, peuvent influencer la spécificité d'hôte des ectoparasites. La spécificité de site sur l'hôte peut résulter de facteurs comme la proximité des partenaires sexuels, la compétition et le comportement de toilettage de l'hôte. Afin de déterminer la spécificité d'hôte et la spécificité de site sur l'hôte, nous avons prélevé dans la région de Lamanai au Belize des mouches stréblides et nyctéribiides, ectoparasites de chauves-souris, chez des hôtes capturés au filet japonais. Nous avons aussi noté et quantifié les comportements de toilettage. Nous avons récolté 773 mouches (32 espèces appartenant aux deux familles) chez 455 chauves-souris (25 espèces appartenant à cinq familles). Des 32 espèces de mouches, 25 se retrouvent sur une seule espèce de chauve-souris, 6 sur 2 espèces du même genre et 1 sur 2 espèces de genres différents (cette dernière association paraît être fortuite). La spécificité des mouches semble reliée à la taxinomie des chauves-souris hôtes et non pas à l'isolement écologique des hôtes, puisque des espèces de chauves-souris qui partagent souvent les mêmes perchoirs plurispécifiques n'ont pas les mêmes espèces d'ectoparasites. La mobilité des mouches n'est pas reliée à la spécificité d'hôte. La spécificité de site des mouches se manifeste pour la fourrure ou pour la membrane de l'hôte et les longues pattes postérieures et les cténidies des mouches semblent être des adaptations morphologiques pour la vie dans la fourrure. Le comportement de toilettage chez les chauves-souris est en accord avec les présuppositions du modèle de simulation qui avance que le toilettage de l'hôte peut être responsable de la ségrégation des mouches ectoparasites dans des sites particuliers sur les chauves-souris.[Traduit par la Rédaction]
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