Diversity of ectomycorrhizae on experimentally planted Douglas-fir seedlings in variable retention forestry sites on southern Vancouver Island

Author: Outerbridge R A   Trofymow J A  

Publisher: NRC Research Press

ISSN: 1480-3305

Source: Canadian Journal of Botony, Vol.82, Iss.11, 2004-11, pp. : 1671-1681

Disclaimer: Any content in publications that violate the sovereignty, the constitution or regulations of the PRC is not accepted or approved by CNPIEC.

Previous Menu Next

Abstract

Studies were done on Vancouver Island of ectomycorrhizal (EM) communities at four distances (5–45 m) from isolated forest patches in three second-growth (SG) and three old-growth (OG) Douglas-fir sites subject to variable retention harvesting. We tested the hypothesis that retention of mature trees enhances colonization and diversity of EM fungi on seedlings planted in adjacent areas. In total 41 EM morphotypes were described, with mean diversity of 3.47 morphotypes and root colonization of 62% per seedling. Overall, root colonization declined with distance (72% at 5 m vs. 52% at 45 m), as did EM diversity (4.7 at 5 m vs. 2.9 at 45 m). For individual sites, the distance effect was significant for root colonization at four sites and for EM diversity at three to four sites. This suggests that variable retention is important for the recovery of ectomycorrhizal biota in harvested sites. Seedling root colonization was significantly lower in SG sites than in OG sites. Though EM diversity did not differ with stand age, OG sites had potentially more total (34) and unique (14) EM morphotypes than did SG sites (total 27, unique 7). Differences with stand age might be related to the relative abilities of EM fungi to disperse to regenerating second-growth forests.Key words: variable retention silviculture, ectomycorrhizae ecology, Douglas-fir seedlings, old growth, second-growth forests.L'étude, conduite sur l'Île de Vancouver, a porté sur des communautés ectomycorhiziennes (EM) situées à quatre distances (5–45 m) de parcelles boisées isolées, venant sur trois sites de seconde venue (SG) et trois sites surannés (OG) de Douglas, sujets à des coupes de rétention variable (VR). Les auteurs ont vérifié l'hypothèse que le maintien d'arbres matures favorise la colonisation et la diversité par les champignons EM sur les semis plantées sur les surfaces adjacentes. Les auteurs décrivent un total de 41 morphotypes EM, avec une diversité moyenne de 3,47 morphotypes, et une colonisation moyenne de 62 % par plant. Dans l'ensemble, la colonisation racinaire diminue avec la distance (72 % à 5 m vs 52 % à 45 m), tout comme la diversité EM (4,7 à 5 m vs 2,9 à 45 m). Pour ce qui est des sites individuels, la distance affecte significativement la colonisation racinaire sur quatre sites et la diversité sur trois à quatre sites. Ceci suggère que la VR est importante pour réactiver le biote mycorhizien sur les sites récoltés. La colonisation racinaire des plantules est significativement plus faible pour les sites SG que pour les sites OG. Bien que la diversité ne diffère pas selon l'âge du peuplement, les sites OG abritent potentiellement un nombre plus grand de morphotypes EM totaux (34) et uniques (14), que les sites SG (totaux 27, uniques 7). La différence selon l'âge du peuplement pourrait être reliée aux capacités relatives des champignons EM à se disperser aux forêts de seconde venue.Mots clés : sylviculture à rétention variable, écologie des ectomycorhizes, plantules de Douglas, forêt surannée, forêt de seconde venue.[Traduit par la Rédaction]

Related content