Does childhood and adolescence fracture influence bone mineral content in young adulthood?

Author: Kawalilak Chantal E.   Baxter-Jones Adam D.G.   Faulkner Robert A.   Bailey Donald A.   Kontulainen Saija A.  

Publisher: NRC Research Press

ISSN: 1715-5320

Source: Applied Physiology, Nutrition, and Metabolism, Vol.35, Iss.3, 2010-06, pp. : 235-243

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Abstract

Previous fracture may predispose an individual to bone fragility because of impaired bone mineral accrual. The primary objective of the study was to investigate the influence of fractures sustained during childhood and (or) adolescence on total body (TB), lumbar spine (LS), femoral neck (FN), and total hip (TH) bone mineral content (BMC) in young adulthood. It was hypothesized that there would be lower TB, LS, FN, and TH BMC in participants who had sustained a pediatric fracture. Participant anthropometrics, physical activity, and BMC (measured with dual energy X-ray absorptiometry) were assessed longitudinally during childhood and adolescence (from 1991 to 1997), and again in young adulthood (2002 to 2006). Sex, adult height, adult lean mass, adult physical activity, and adolescent BMC adjusted TB, LS, FN, and TH BMC in young adulthood, for those who reported 1 or more fractures (n = 42), were compared with those who reported no fractures (n = 101). There were no significant differences (p > 0.05) in adjusted BMC between fracture and nonfracture groups at the TB, LS, FN, and TH sites in young adulthood. These results suggest that fractures sustained during childhood and adolescence may not interfere with bone mass in young adulthood at clinically relevant bone sites.Une fracture antérieure prédispose à la fragilité osseuse, et ce, à cause d’une difficulté d’acquisition du capital minéral osseux. Cette étude se propose principalement d’analyser l’effet de fractures survenues durant l’enfance ou l’adolescence sur le contenu minéral osseux (« BMC ») de tout le corps (« TB »), des vertèbres lombaires (« LS »), du col du fémur (« FN »), de toute la hanche (« TH ») au début de l’âge adulte. L’hypothèse de cette étude est que le BMC de toutes ces parties des participants est plus faible chez ceux qui ont une fracture ou plus avant l’âge adulte que chez ceux qui n’ont pas eu de fractures durant cette même période. De 1991 à 1997, soit au cours de l’enfance et de l’adolescence puis de 2002 à 2006, soit durant le jeune âge adulte, on évalue selon un devis longitudinal les variables suivantes : les caractéristiques anthropométriques, l’activité physique et le BMC par DXA. On compare dès lors les valeurs des variables suivantes chez les individus n’ayant eu aucune fracture (n = 101) à ceux en ayant eu une ou plus (n = 42) : le sexe, la stature adulte, la masse maigre adulte, l’activité physique à l’âge adulte, le BMC du TB, des LS, du FN ajusté respectivement à l’adolescence et le BMC de TH à l’âge adulte. On n’observe aucune différence (p > 0,05) de BMC ajusté entre le groupe avec fracture et le groupe sans fracture, et ce, dans toutes les parties du corps évaluées. D’après ces observations, les fractures survenues durant l’enfance et l’adolescence n’ont pas d’effet sur la masse osseuse adulte dans les parties du corps d’intérêt clinique.

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