Zurück zum Barkhausen-phon?

Author: Reichardt W.  

Publisher: S. Hirzel Verlag

ISSN: 1610-1928

Source: Acta Acustica united with Acustica, Vol.52, Iss.4, 1983-03, pp. : 232-236

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Abstract

In the measurement of noise stress and noise nuisance the use of the A value of the sound pressure level has become worldwide. The main reason for this acceptance is that the frequency weighting of the A-curve is a close approximation to the frequency dependence of damage to hearing. However this does not help in the estimation of loudness. Moreover at higher sound levels considerable errors are in volved in calculation if the A-level value is used. For the criterion of noise stress it is more the loudness level or the (incalculable) loudness which provides the correct limiting point. It appears to be at the point in time at which the current magnitudes in hearing (also for the fluctuating level), i. e. phon or sone, can be measurement sufficiently approximate and with justifiable expenditure. The assumptions for this are discussed.ZusammenfassungZur Messung von Lärmbelastungen und Lärmbelästigungen hat sich der A-bewertete Schalldruckpegel weltweit eingebürgert. Der Hauptgrund dürfte sein, daß die Frequenzbewertung der A-Kurve die Frequenzabhängigkeit der Gehörschädlichkeit sehr gut annähert. Das gilt aber nicht für die Bestimmung der Lautstärke. Besonders bei höheren Schallpegeln wird sie mit erheblichen Fehlern bestimmt, wenn der A-bewertete Pegel als Maß dient. Es ist vielmehr der Lautstärkepegel oder die (umrechenbare) Lautheit der richtige Ausgangspunkt für die Beurteilung der Lärmbelästigung. Es scheint jetzt der Zeitpunkt gekommen zu sein, in dem auch diese Größen laufend (auch bei schwankendem Pegel) gehörrichtig, d. h. in phon oder sone, ausreichend angenähert und mit vertretbarem Aufwand objektiv gemessen werden können. Die Voraussetzungen hierfür werden erörtert.SommaireLa mesure de la charge et de la gêne dues au bruit se fait actuellement partout au moyen de l'échelle A des niveaux de pression sonore. La raison principale en est sans doute que la pondération en fréquence introduite dans l'échelle A constitute une bonne approximation de la manière dont varie en fonction de la fréquence la vulnérabilité du système auditif humain. Mais cette même échelle ne convient pas pour la détermination du volume ou de la puissance sonore. Celle-ci sera entachée d'erreurs appréciables, surtout aux niveaux sonores élevés, lorsqu'on la rapporte à la pondération A dans les mesures. Pour la qualification de la gêne due au bruit, la véritable issue serait plutôt le recours au niveau de volume sonore ou à la sonie (incalculable rigoureusement). Le moment semble venu actuellement où ces dernières grandeurs pourront, elles aussi, et même en régime non stationnaire, être déterminées d'une manière acoustiquement satisfaisante, en phones ou en sones, et mesurées d'une manière objective et représentative. Les conditions pour une telle réalisation sont discutées.