Do quality systems really make a difference?

Author: Landin Anne   Nilsson Carl-Henric  

Publisher: Routledge Ltd

ISSN: 1466-4321

Source: Building Research and Information, Vol.29, Iss.1, 2001-01, pp. : 12-20

Disclaimer: Any content in publications that violate the sovereignty, the constitution or regulations of the PRC is not accepted or approved by CNPIEC.

Previous Menu Next

Abstract

The purposes of this study were to ascertain whether Swedish construction companies measure the impact of their quality systems (such as ISO 9000) and, if so, whether the 'balanced scorecard' approach is a useful technique as a measure of performance. The balanced scorecard approach requires each organization to look at itself from four different perspectives to provide a more comprehensive view of organizational performance: the financial perspective, the customer perspective, the process perspective, the innovation and learning perspective. Twelve Swedish construction sector companies (clients, architectural-engineering consultants, contractors) with well-established quality systems were studied. The results indicate two important points. First, the balanced scorecard can be successfully used to measure the performance of quality systems in the construction process. Second, the organization and learning perspective is neglected in the Swedish construction process. The use of the balanced scorecard highlighted the fact that a lack of balance often exists between the four perspectives. While it is tempting to conclude that investments in quality systems increase organizational performance, there is little (if any) evidence that this is the case. Many investments in quality systems appear to be based more on blind faith than on facts. Tools are only valuable if they improve results, there is a need for further understanding the costs and benefits of quality systems in engineering and construction organizations.Les objectifs de cette e´tude e´taient de ve´rifier comment les socie´te´s de construction sue´doises mesurent l'impact de leurs syste`mes de qualite´ (comme ISO 9000) et, dans ce cas, si l'utilisation de la 'carte de pointage e´quilibre´e' constitue une technique utile pour mesurer ces performances. La me´thode de la carte de pointage e´quilibre´e oblige chaque socie´te´ a` proce´der a`une introspection a` partir de quatre points de vue diffe´rents afin de fournir une vue globale des performances de l'organisation: perspectives financie`res, commerciales, au niveau des processus, et du point de vue de l'innovation et de l'apprentissage. Douze socie´te´s sue´doises du secteur de la construction (clients, inge´nieurs-conseils architectes et inge´nierie, contractants) disposant de syste`mes de qualite´ reconnus ont e´te´ examine´es. Les re´sultats font ressortir deux points importants. En premier lieu, la carte de pointage e´quilibre´e peut servir a` mesurer les performances des syste`mes de qualite´ dans les processus de construction. En second lieu, les parame`tres 'organisation' et 'apprentissage' sont ne´glige´s dans le processus de construction sue´dois. L'utilisation des cartes de pointage e´quilibre´es a mis en lumie`re le fait qu'il existait souvent un de´se´quilibre entre ces quatre points de vue. Alors que l'on serait tente´ de conclure que les investissements dans des syste`mes de qualite´ augmentent les performances de l'organisation, on dispose de peu, voire d'aucune preuve dans ce sens. De nombreux investissements dans des syste`mes de qualite´ semblent reposer davantage sur une foi aveugle que sur des faits. Les outils n'ont de la valeur que s'ils ame´liorent les re´sultats; il faut donc mieux comprendre les couˆts et les avantages des syste`mes de qualite´ tels qu'ils existent dans l'inge´nierie et la construction.