

Author: Yelle Véronique Bélanger Louis Pâquet Josée
Publisher: NRC Research Press
ISSN: 1208-6037
Source: Canadian Journal of Forest Research, Vol.38, Iss.7, 2008-07, pp. : 1983-1995
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Abstract
For Quebec’s black spruce forests, the usual harvesting process involves logging with protection of regeneration and soil (CPRS) or clearcutting, but at the social level, public perception of this method of cutting is very poor, mainly because of its visual impact. However, other adapted harvesting processes exist for boreal ecosystems. They stem from ecosystem management and offer measures to mitigate the visual impact of CPRS. The results of this study provide a comparison between the visual acceptability of silvicultural practices (harvesting with protection of high regeneration (CPHRS), harvesting retention with protection of small merchantable stems (CPSMT), and green-tree retention) that allow greater vegetal retention than traditional clearcutting (CPRS). This study also aims to see if differences exist in verdicts of acceptability based on affiliation with a forest region and special interest groups such as environmentalists, outdoors enthusiasts, and general interest groups. The study shows that the quality and quantity of regeneration left after cutting influences the verdict. Moreover, practices that leave a residual structure manage to mitigate, partly, the negative visual impact of traditional clearcutting methods. Finally, affiliation with a forest resource region does not systematically influence the verdict of visual acceptability of forest practices. Differences between interest groups suggest that it is knowledge related to the forest environment that influences the verdict. [Journal translation]En pessière noire, le procédé de récolte habituel est celui de la coupe avec protection de la régénération et des sols (CPRS), un procédé de coupe totale. Socialement, ce type de pratique est mal perçu principalement pour ses impacts visuels. Toutefois, il existe pour les écosystèmes boréaux, d’autres procédés de récolte adaptés, issus de l’aménagement écosystémique. Cette étude présente une comparaison de l’acceptabilité visuelle des traitements sylvicoles permettant une plus grande rétention végétale par rapport à la CPRS (coupe avec protection de la haute régénération (CPHRS), coupe avec protection des petites tiges marchandes (CPPTM) et CPRS avec rétention de bouquets). Elle vérifie aussi si des différences dans les jugements d’acceptabilité existent selon l’appartenance à une région ressource forestière et à certains groupes d’intérêts, tels les environnementalistes, les amateurs de plein-air et d’intérêt général. Il en ressort que la qualité et la quantité de la régénération laissée après coupe influencent le jugement et que les traitements permettant de conserver une structure résiduelle parviennent à mitiger, partiellement, les impacts visuels des méthodes de coupe rase traditionnelles. Finalement, l’appartenance à une région forestière n’influence pas le jugement en ce qui a trait à l’acceptabilité visuelle des coupes. Les différences entre les groupes d’intérêts laissent plutôt croire que ce sont les connaissances reliées au milieu forestier qui influencent le plus le jugement.
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